lundi 6 décembre 2010
J'ai longtemps vécu dans une ville qui avait et qui a encore comme devise : "QUI VEULT, PEULT". Dans la langue contemporaine on a simplement enlevé les "L" pour donner "QUI VEUT, PEUT". Notre vie quotidienne est construite sur des adages semblables : le succès appartient aux audacieux ; ceux qui osent vont loin ; il faut savoir dépenser 25 cents pour gagner un dollar. Pourquoi ? Parce que la vie va devant, elle refuse le statu quo et plus encore le retour en arrière. Pas besoin d'être grand psychologue ou fin conseiller pour expérimenter cela.
La liturgie de l'Église, ce matin, apporte un exemple. Des gens veulent présenter un paralytique à Jésus ; trop de foule ; l'espace est plein. Ils défont le toit et glissent le paralysé alité juste devant Jésus.
(Luc 5, 17-26) Jésus guérira des péchés et redonnera force aux muscles du corps.
JE PRIESeigneur, c'est lundi, je n'ai pas le goût d'aller au boulot, sois ma force aujourd'hui.
Seigneur, quand je vois Noël approcher et toutes les choses à venir, je perds pied ; sois celui qui m'aide à organiser mon temps.
Seigneur, je dois prendre des décisions importantes, éclaire mon choix de ton Esprit.
Seigneur, ma vie s'est éloignée de toi, pardonne mon péché.
Seigneur, j'ai oublié mon épouse, mes enfants pour me faire plaisir, donne-moi la force de revenir vers eux.
Seigneur, c'est toi mon espérance et mon soutien.
(Pour lire les textes liturgiques voir http://www.aelf.org/office-messe)
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