ANNONCER

vendredi 12 septembre 2014

Une dame que je rencontrais, hier, me disait que la semaine avait passé très vite. De fait, on approche déjà de la moitié du mois de septembre et on le voit par la durée des jours.

Une chose reste encore et encore, c'est Paul qui la rappelle : "Frères, si j'ANNONCE l'Évangile, je n'ai pas à en tirer orgueil, c'est une nécessité qui s'impose à moi ; malheur à moi si je n'ANNONÇAIS pas l'Évangile !" Une nécessité qui s'impose à moi. Voilà toute l'histoire à vivre pour chacunE de nous chaque jour.

Ici encore, Paul nous dit que cette ANNONCE doit être vraiment libre, dégagée de toute contrainte, de tout appétit de recevoir en retour : "Parce que j'ANNONCE l'Évangile sans rechercher aucun avantage matériel, ni faire valoir mes droits de prédicateur de l'Évangile. Oui, libre à l'égard de tous, je me suis fait le serviteur de tous…" Il termine en comparant cette ANNONCE à un entraînement de l'athlète ; course, discipline sévère, couronne à remporter, disqualification même ; "Mais je traite durement mon corps, et je le réduis en esclavage, pour ne pas être moi-même disqualifié après avoir ANNONCÉ aux autres la Bonne Nouvelle".

Quand je me rendrai à la salle de sports, quand je ferai de l'exercice physique (ne serait-ce qu'une bonne marche, une belle randonnée pédestre ou en vélo), quand je voudrai me soumettre à un régime d'entraînement sportif pour sculpter mon corps, je penserai que je dois aussi ANNONCER l'Évangile, Jésus, son message… Je dois être en forme.

(Lire le texte en 1Co 9, 16-19.22-27 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 12 septembre 2014)





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