lundi 20 avril 2015
Comme pour son Maître, Étienne est soumis à la question des Chefs de la Synagogue. Le texte dit que personne ne pouvait : "résister à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler." Une grande gêne pour les accusateurs ; "Alors ILS SOUDOYÈRENT DES HOMMES pour qu’ils disent…" l'avoir entendu blasphémer. Comme pour Jésus devant les Chefs religieux, comme pour les premiers disciples chrétiens, il faut trouver quelque chose pour les accuser, pour justifier ses propres erreurs, ses égarements !
Ce sont là des situations à vivre quand on veut suivre Jésus ; des yeux nous épient, des bouches émettent des suppositions, des oreilles croient avoir entendu… Il y a des gens qui attendent un de nos faux-pas pour nous faire chuter plus bas encore. Une seule certitude : Dieu ne nous oublie pas lui, et sa Parole est Vérité. Étienne est accusé parce qu'il aurait annoncé vouloir renouveler les coutumes transmises depuis des siècles chez le peuple choisi ; quelles remarques fait-on pour moi ? Suis-je vraiment fidèle, croyantE, pleinement engagéE ?
Si Dieu est avec moi, je serai comme Étienne : "ils virent que son visage était comme celui d’un ange." Cela signifie que la Parole de Dieu passera dans tous mes actes.
(Lire le texte en Ac 6, 8-15 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 20 avril 2015)
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