lundi 21 novembre 2016
Les élu-e-s portent un signe distinctif ; ils sont 144 000, un nombre mythique pour les Juifs. Tous et toutes "portent INSCRITS SUR LEUR FRONT, le nom de l’Agneau et celui de son Père."
C'est le même signe qui nous a toutes et tous marqué-e-s, alors que nous avons été baptisé-e-s. Nous nous reconnaissons à ce signe… vraiment peu visible ! Pourtant, c'est le signe même de la croix de Jésus, le signe de notre salut. On connaît des sociétés secrètes qui ont ainsi des signes de reconnaissance connus des seuls adeptes. Même nos catholiques Chevaliers de Colomb ont aussi leur signe de salutation qui fait qu'ils s'identifient entre eux, dit-on. Le signe que nous donne l'Agneau nous entre dans la grande chorale qui se tient debout devant lui ; notre maître de chorale a une voix…"cette voix que j’entendais était aussi comme celle des joueurs de cithare qui chantent et s’accompagnent sur leur cithare". Que faisons-nous sous la direction de ce Maestro ? "Ils chantent un cantique nouveau devant le Trône, et devant les quatre Vivants et les Anciens".
Je suis de ce groupe, je chante l'Agneau et je rends grâce pour ces dons. L'écriture dit de ces 144 000 : "Dans leur bouche, on n’a pas trouvé de mensonge ; ils sont sans tache."
(Lire le texte en Ap 14, 1-5 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 21 novembre 2016)
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