MAINTENANT, JE SAIS

samedi 1er avril 2017

Faut-il nous rappeler les tours joués aux autres pour ce fameux poisson d'avril ? Parfois intelligents, souvent stupides, ils provoquaient la risée ou la joie de tous et toutes. En vieillissant on pourrait dire MAINTENANT, JE SAIS ce que j'aurais dû faire.

C'est d'ailleurs ce qui arrive à l'agneau souffrant de Jérémie : "Seigneur, tu m’as fait savoir, et MAINTENANT JE SAIS, tu m’as fait voir leurs manœuvres." Un agneau qui porte nos péchés, un agneau offert en propitiation de nos fautes, en holocauste. Il devait souffrir et mourir pour que nous ayons la vie ! Les méchants, les responsables machinent le pire contre moi, contre Dieu, contre Jésus : "Coupons l’arbre à la racine, retranchons-le de la terre des vivants, afin qu’on oublie jusqu’à son nom." MAINTENANT, JE SAIS ! Servir Dieu, respectez ses lois, vivre la Bonne Nouvelle ça ne plaît pas à tous les humaines… ça excite la jalousie, la haine même.

C'est pourquoi, aujourd'hui, je redis cette prière, avec Jérémie : "Seigneur de l’univers, toi qui juges avec justice, qui scrutes les reins et les cœurs, (…) c’est à toi que j’ai remis ma cause."

(Lire le texte en Jr 11, 18-20 ou aller à http://www.aelf.org, 1er avril 2017)



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