lundi 4 juillet 2011
Je ne tenterai pas d'écrire ici un traité psychanalytique sur le rêve. Mais c'est un fait qu'on rêve, toutes et tous et cela durant de très longs moments ! Certains rêves sont amusants, d'autres, épuisants ; parfois on voudrait les prolonger, en d'autres occasions, il vaut mieux les couper là où ils se terminent. Dans la culture de nos Premières Nations, le rêve est dit, il se partage, il se raconte à la famille. Chez les gens de l'Asie, de l'Afrique, le rêve est une prémonition, un accord, une obligation, une réponse, une orientation. Jacob rêve d'une grande échelle entre le ciel et la terre avec des anges qui vont et viennent. Mais le message est important : "Je suis le Seigneur, le Dieu d'Abraham ton père, le Dieu d'Isaac. La terre sur laquelle tu es couché, je te la donne, à toi et à tes descendants. Tes descendants seront nombreux comme la poussière du sol, ils se répandront à l'orient et à l'occident, au nord et au midi ; en toi et en ta descendance seront bénies toutes les familles de la terre. Voici que je suis avec toi ; je te garderai partout où tu iras, et je te ramènerai sur cette terre ; car je ne t'abandonnerai pas avant d'avoir accompli ce que je t'ai promis." Cette longue échelle, ces messagers, c'est notre histoire, ce sont et toi, et moi, descendantEs de Jacob, ce sont les familles bénies de Dieu.
(Lire le texte en Gn 28, 10-22 dans http://www.aelf.org/office-messe, 4 juillet 2011)
JE PRIE
Seigneur, il y a souvent de belles choses dans mes rêves, je te les confie.
Seigneur, si mes rêves m'apportent le chagrin, l'inconfort, viens les prendre et les guérir.
Seigneur, je retiens de la lecture que tu ne m'ABANDONNES JAMAIS ; merci.
Seigneur, parce que tu l'as dit :" Voici que je suis avec toi", je crois et je vais essayer de te trouver aujourd'hui.
Seigneur, comme Jacob, par les événements de ma vie, je veux te prier, élever un autel et me rappeler ta présence attentive, affectueuse, amoureuse.
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