samedi 5 février 2022
Les multiples activités annoncées, les célébrations de toutes sortes font que nous organisons nos périodes libres de façon que tout soit bien rempli et nos envies comblées. Ces jours-ci, ça ne manque pas car nous sommes en hiver et les fêtes (carnavals, courses, Olympiques, expositions de glace) sont là présentes dans la prudence de la pandémie.
Avec Jésus, c'est pareil ; les foules s'assemblent, les Apôtres reviennent de mission et ils racontent ce que la Parole a accompli par leurs mains, par leur voix : "les Apôtres (…) lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné." On ajoute : "ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger." Jésus leur offre donc un moment de repos mais la foule précède et les Apôtres et Jésus : "Alors, à pied, de toutes les villes, ILS COURURENT LÀ-BAS et arrivèrent avant eux." Une surprise pour le groupe des disciples, une faim de la Parole, de la présence de Jésus. "Comme des brebis sans berger", dira-t-il !
Et moi, quelle est ma faim de cette présence ? Un peu de neige limite mes déplacements pour l'eucharistie, un programme préféré me fait oublier une rencontre communautaire, en église, une gêne fait que je ne participe pas … Jésus est le seul berger !
(Lire le texte en Mc 6, 30-34 ou aller à www.aelf.org, 5 février 2022)
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