mercredi 21 février 2024
Eh oui, on en cherche, nous aussi, des signes. De fait, ces signes sont des points de repère pour nos actions, nos sentiments, notre désir d’avenir, notre personnalité. On en voit certains, d’autres personnes nous aident à les découvrir.
Le peuple du temps de Jésus cherchait des signes du Messie qui viendrait les libérer, encore une autre fois, du joug de l’oppresseur, ici ce sont les Romains, autrefois, les Égyptiens. Jésus dira : « Elle cherche un signe, mais en fait de signe il ne lui sera donné que le signe de Jonas. » On se souvient de ce Jonas qui avait appelé à la conversion, au changement de conduite. Ceux et celles qui l’avaient suivi furent sauvéEs. La reine de Saba, une étrangère est venue de loin pour entendre la sagesse du roi Salomon. Ici, c’est le Fils de l’homme le Fils de Dieu, et que faisons-nous ? Ce Carême est une occasion, un signe placé là sur mon chemin pour redécouvrir Jésus. Jonas a demandé aux habitants de Ninive de changer de conduite, la reine de Saba a apprécié la sagesse de Salomon ; Jésus vient me dire de retourner vers son Père, la sagesse qu’il me présente est celle de la Bonne Nouvelle, son message d’amitié fraternelle entre toutes les nations, entre chacunE de nous. Oui vraiment, « il y a ici bien plus »!
(Lire le texte en Lc 11, 29-32 ou aller à www.aelf.org, 21 février 2024)
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