mercredi 6 mars 2024
Nous sommes tous et toutes contentEs quand on nous félicite pour un travail réalisé avec brio. Nous avons ACCOMPLI quelque chose. Ce sentiment du travail bien fait, de la bonne réalisation, du bon accomplissement est nécessaire au développement de notre personnalité. Nous nous distinguons d’ailleurs par ce que nous réalisons.
Jésus a une mission reçue de son Père, ramener au bercail les brebis égarées, dispersées, pour en faire un seul troupeau, une seule Église. Cela tient à ce que les prophètes ont annoncé et si sa conduite peut sembler aller à l’encontre, il rappelle : « Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais ACCOMPLIR. » Pourquoi alors être contre lui ? Pourquoi nous questionner ? Pourquoi penser que sa mission ne se réalisera pas ? « Pas un seul iota, pas un seul trait ne disparaîtra de la Loi jusqu’à ce que tout se réalise ». Comme chrétienNE, je suis aussi engagéE dans cet accomplissement. Je suis celle, celui qui doit enseigner ce projet de Dieu sur l’humain, sur la création, sa création. Et Jésus me le dit : « Mais celui qui les observera et les enseignera, celui-là sera déclaré grand dans le royaume des Cieux. »
À mon tour, en ce jour, de faire que le Royaume s’accomplisse ; ma vie, mes gestes, mes engagements doivent aider ce projet du Royaume à bâtir.
(Lire le texte en Mt 5, 17-19 ou aller à www.aelf.org, 6 mars 2024)fin article - 114 affichages depuis le 6 Mar 2024