jeudi 9 décembre 2010
Notre formation familiale est bousculée par la présence de nombreux autres frères et sœurs. Par eux, on apprend plus que par les conseils paternels ou maternels. La formation sociale se fait évidemment au sein de la famille mais aussi par les camarades, les amis, les autres enfants du quartier, de l'école. Nous pouvons être uniques, c'est vrai, mais les autres sont aussi nos formateurs.
C'est le message de la lecture d'Isaïe, ce matin.
Je te prends la main droite, et je te dis : "Ne crains pas, je viens à ton secours". Suit une liste de bienfaits que le Seigneur fera pour son peuple. L'énumération se termine ainsi : "Je mettrai dans les terres incultes le cyprès, le pin et le mélèze, afin que tous regardent et reconnaissent, afin que tous considèrent et découvrent que la main du Seigneur a fait tout cela." (Isaïe 41, 13-20)
Seigneur Jésus, toi qui jamais ne nous humilies ni ne nous attristes par la générosité de ta pitié,
BÉNI SOIS-TU ET PRENDS PITIÉ DE NOUS.
Christ Jésus, toi qui ne te contentes pas de récompenser ceux qui ont la chance d'être à l'aise avec eux-mêmes.
BÉNI SOIS-TU ET PRENDS PITIÉ DE NOUS.
Seigneur Jésus, toi qui ne viens pas à nous comme le Dieu de l'écrasante perfection, mais comme le Dieu de la justification et du relèvement,
BÉNI SOIS-TU ET PRENDS PITIÉ DE NOUS.
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