LE MAL VAINCU

jeudi 27 novembre 2014

Enfin, tous ces combats se termineront, tous les mensonges laisseront place à la vérité, les ténèbres disparaîtront pour la lumière, le mal sera mis de côté, le règne de l'Agneau arrivera.

Saint Jean continue ses descriptions fameuses ; ici c'est Babylone qui est détruite : "C'est ainsi que sera précipitée avec violence Babylone, la grande cité, et on ne la retrouvera jamais plus. La musique des joueurs de harpes et d'autres instruments, des joueurs de flûte et de trompette, chez toi ne s'entendra jamais plus." "La lumière de la lampe chez toi ne brillera jamais plus. Le chant du jeune époux et de son épouse chez toi ne s'entendra jamais plus. Pourtant, tes marchands étaient les grands de la terre, et tes sortilèges égaraient toutes les nations !"

Oui, enfin pourrait-on dire, l'Agneau triomphera : "Alléluia ! C'est à notre Dieu qu'appartiennent le salut, la gloire et la puissance, car ses jugements sont vrais et justes. (…) Un ange me dit alors : Écris ceci : Heureux les invités au repas des noces de l'Agneau."

Oui, me voilà invitéE à la noce de l'Agneau. Je le reconnais comme mon Seigneur, il est mon salut, ma puissance, ma gloire. Il m'arrive de redire ces paroles durant l'Eucharistie, lors d'une prière, au moment d'une lecture et aujourd'hui, je veux les prononcer en sachant que c'est encore et toujours plus vrai, LE MAL EST VAINCU, l'Agneau est avec moi, en moi. Je me tais, je contemple, je m'engage dans sa chorale pour chanter : " Alléluia ! C'est à notre Dieu qu'appartiennent le salut, la gloire et la puissance, car ses jugements sont vrais et justes."(Lire le texte en Ap 18,1-2.21-23; 19, 1-3.9 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 27 novembre 2014)



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