dimanche 26 avril 2015
Pierre, au début du livre des Actes des Apôtres, ne cesse de FAIRE LE BIEN et de proclamer le salut apporté par Jésus : "(…) nous sommes interrogés aujourd’hui pour AVOIR FAIT DU BIEN à un infirme, et l’on nous demande comment cet homme a été sauvé." Il ajoute : "(…) c’est par le nom de Jésus le Nazaréen." Tout est là pour nous aussi, il faut agir avec Jésus, au nom de Jésus. En allant plus loin dans le texte de la messe, à l'Évangile, ce même Jésus se présente à nous comme le bon berger, celui qui n'est pas le mercenaire : "Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis." "Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent."
Il est vrai que cette image du berger n'est guère familière aux gens des villes. Les gens des campagnes peuvent davantage imaginer cette relation qui existe en l'homme et ses bêtes. Mais pensons aussi à tout l'attachement que portent beaucoup de gens à leur animal de compagnie !!!
Jésus me parle, je lui parle. Jésus m'écoute, je l'écoute, comme la brebis écoute son berger. Jésus m'accompagne sur ma route, j'accompagne Jésus sur le chemin de mon salut… Pierre dira que le salut vient de lui seul : "En nul autre que lui, il n’y a de salut."
En ce dimanche des vocations, je pense à ceux et celles qui me dirigent, à ceux et celles qui donnent une direction, une orientation à ma vie. Si Dieu m'appelle à jouer un rôle de berger, je sais quoi répondre.
(Lire les textes en Ac 4, 8-12 ; évangile en Jn 10, 11-18 ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 4e dimanche de Pâques, année B, 26 avril 2015)
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