vendredi 1er avril 2016
Pierre et Jean ont fait du bien, ils ont guéri un homme, lui ont permis de marcher, de continuer à vivre sans dépendre de personne, d`être responsable. Les Chefs du Peuple ne voient pas cela du même œil car "beaucoup de ceux qui avaient entendu la Parole devinrent croyants ; à ne compter que les hommes, il y en avait environ cinq mille". Une guérison, quelques discours impromptus et voilà, on se convertit. Les Chefs sont atterrés, ils perdent des fidèles ! Après une nuit en prison, Pierre et Jean rencontrent les Chefs religieux : "Hanne le grand prêtre, Caïphe, Jean, Alexandre, et tous ceux qui appartenaient aux familles de grands prêtres." Leurs questions portent sur l'autorité que les Apôtres mettent de l'avant pour agir ainsi, parler, guérir. "…l’on nous demande comment cet homme a été sauvé. Sachez-le donc, vous tous, ainsi que tout le peuple d’Israël : c’est par le nom de JÉSUS LE NAZARÉEN". Jésus, une personne rejetée, une pierre refusée dans la construction est "devenue la pierre d’angle. En nul autre que lui, il n’y a de salut".
Quand je veux prier, quand je veux méditer, je peux me retirer dans ma chambre, je peux rassembler aussi toutes sortes d'images, de cierges, d'objets… mais l'essentiel, l'unique nécessaire c'est JÉSUS ! C'est lui que je prie, c'est lui que je contemple quand je médite. C'est sa Parole que je prie.
(Lire le texte en Ac 4, 1-12 ou aller à http://aelf.org/office-messe, 1er avril 2016)
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