jeudi 7 mars 2019
Une publicité pour les amateurs de motoneige demandait la route pour je ne sais quel endroit. La personne en cherchait une autre et encore une autre car toutes étaient déconseillées par l'interlocuteur. Une seule restait : la prudence.
Avec Jésus, c'est la même chose qui nous arrive, il n'y a qu'une seule route : mourir ! Ce n'est pas gai, ce n'est pas dans notre nature, ce n'est pas ce que Dieu avait dit au jardin de la Genèse : tout était bon, beau, croissez, multipliez-vous. Les termes de l'évangile sont : se renoncer, mourir, prendre sa croix, souffrir… Mais comme c'est la seule route possible que dois-je faire ?
Sans aller dans la résignation béate, il faut bien dire que la voie n'est pas facile et que vraiment c'est le seul choix à faire, non par résignation[RB1] , non par démission mais par désir personnel d'atteindre la perfection, Jésus lui-même… celui qui veut me suivre, qu'il prenne sa croix
Aujourd'hui, je prends le temps d'examiner les chemins qui me conduisent à Jésus. Certains sont hors normes, certains sont tout dorés, certains peuvent paraître sûrs et agréables mais… j'aurai besoin de la force de Jésus pour tailler les fausses routes et aller vraiment tout droit vers lui, avec lui.
(Lire le texte en Lc 9, 22-25 ou aller à https://www.aelf.org, 7 mars 2019
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