vendredi 13 septembre 2019
Que personne ne quitte. Les malheurs associés aux vendredis 13 sont plus le fait des croyances populaires que des réalités. Ou bien encore, ces coïncidences deviennent des fruits du hasard, le plus souvent. Comme Jésus nous l'enseigne en ce jour, il faut y VOIR CLAIR.
Les mal voyants ou les aveugles ont vu leurs problèmes diminuer au fil des âges. Alors qu'auparavant on les laissait dans leurs malheurs, la société a augmenté leur bien-être en tentant de faciliter leur vie sociale en les intégrant, de plus en plus, dans la vie régulière. Pensons au signal sonore collé aux feux de circulation ; pensons au pavé rebondi près des obstacles… pensons davantage à ces animaux (MIRA) qui ont bien soin de leur maître privé de sens visuel… Et Jésus nous rappelle ainsi que les aveugles doivent recevoir de l'aide d'une personne capable de voir sinon : "Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? Ne vont-ils pas tomber tous les deux dans un trou ?" Vrai en tout !!! "Qu’as-tu à regarder la paille dans l’œil de ton frère, alors que la poutre qui est dans ton œil à toi, tu ne la remarques pas ?"
Ma vie de foi, ma vie en mission a besoin de cet éclairage. Je vois les défauts, les erreurs de l'autre mais j'oublie mes propres écarts, mon propre péché. "Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil". Comme nous l'enseignaient les chevaliers d'autrefois : "Honni soit qu'y mal y pense !"
(Lire le texte en Lc 6, 39-42 ou aller à https://www.aelf.org, 13 septembre 2019)
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