samedi 27 août 2011
Hier, j'ai passé environ 5 heures à l'hôpital pour un rendez-vous programmé à 9h30. Les actions d'accueil et d'inscription m'ont permis de m'asseoir vers 8h30, dans la salle d'attente. Un gros livre à lire m'accompagnait. J'ai consulté le médecin, midi passé ! Pourtant, personne dans le personnel de toutes couleurs et de toutes fonctions ne me semblait inactif ou paresseux. Même le médecin y allait bien rondement !Professeurs ou parents observent chez leurs enfants des moments d'activité et de paresse. Tout est au mode supersonique pour un temps puis cela tourne au pas d'une tortue les pattes attachées. Saint Paul fait remarquer aux Thessaloniciens, qu'il a vu leur charité, leur amour fraternel mais il les invite aussi à d'autres démarches : "(…) ayez à cœur de vivre calmement, de faire chacun ce que vous avez à faire et de travailler de vos mains comme nous vous l'avons ordonné." Il peut arriver que notre activité charitable, que notre activisme débordant, envers les autres, serve à masquer notre paresse envers notre propre famille, notre propre entité. (Lire le texte en 1 Th 4, 9-11 ou dans http://www.aelf.org/office-messe, 27 août 2011)
JE PRIE
Toi seul, Seigneur, peux nous apprendre la voie de tes préceptes.
BÉNIS SOIS-TU !
Toi, seul, Seigneur, peux nous montrer la sagesse de ta loi.
BÉNI SOIS-TU !
Soi seul, Seigneur, peux nous donner d'entrer dans la grâce de ta miséricorde.
BÉNI SOIS-TU !
(extrait de La prière pénitentielle avant l'eucharistie, no 390, Gilles LINDSAY, f.s.g., prêtre)
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