EN MON NOM

mardi 11 août 2020

On a rassemblé ici deux textes qui semblent ne pas avoir de liens en eux : celui des enfants et celui du pasteur à la brebis perdue.

Les enfants, on le sait, c’est souvent charmant mais en vieillissant cela peut devenir damnant ! Il y a cette affirmation de la personnalité, du caractère qui se forge et que tous les agents d’éducation doivent faire grandir en ligne droite, dans le respect de la famille, de la société, des autres. « Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux ». Eh oui ! c’est la voie, la route vers le Royaume. L’enfant qui sourit, qui se fâche ; l’enfant qui obéit, l’enfant qui s’affirme ; l’enfant qui vit sa vie, l’enfant qui devient autre. La Parole de Jésus est limpide, sans riposte, sans détours : « Et celui qui accueille un enfant comme celui-ci EN MON NOM, il m’accueille, moi. » Comme le berger recherche la brebis qui s’est éloignée, Jésus me cherche, le Père me veut avec lui : « Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. » 

Ma prière va d’abord vers les enfants que nous faisons grandir vers la vie adulte ; je les aide aussi à grandir dans ma foi en Dieu, dans mes croyances en ce Dieu plein d’amour, en ce Dieu Père qui les veut autour de lui, comme ses enfants. Je prie pour tous les enfants de la terre.

(Lire le texte en Mt 18, 1-5.10.12-14 ou aller à https://www.aelf.org/, 11 août 2020)





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