lundi 5 septembre 2022
Nos activités quotidiennes se divisent entre ces deux pôles, LE BIEN, LE MAL. Même saint Paul en parlait en nous disant qu'il faisait LE MAL qu'il ne voulait pas ! C'est un choix de chaque instant, on pose tel geste, on esquisse un sourire ou non, on dit telle parole ou non, on marche vers, avec… ou non !
Jésus est aux prises avec l'œil scrutateur des scribes et des pharisiens. Intentionnellement ou non, l'évangile ne le dit pas, mais il se trouve dans l'assistance de la synagogue, un homme à la main desséchée. "Les scribes et les pharisiens observaient Jésus pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat ; ils auraient ainsi un motif pour l’accuser". Jésus connaît leurs pensées intimes et il leur demande : "Est-il permis, le jour du sabbat, DE FAIRE LE BIEN OU DE FAIRE LE MAL ? de sauver une vie ou de la perdre ?" À l'homme malade, il demandera un geste, un geste de foi en lui, Sauveur et Messie : "Étends la main." Comme le dit l'Évangéliste : "Il le fit, et sa main redevint normale." Oui, c'est vrai, LE BIEN ne fait pas mal ! Et Les ennemis de Jésus ont eu des munitions pour le condamner.
Seigneur, je suis là souvent à me demander si je devrais ou non, si je dois ou non… ta vie m'enseigne à toujours FAIRE LE BIEN ; envoie-mon ton Esprit de force qui m'engage à ta suite pour faire grandir LE BIEN et faire mourir LE MAL.
(Lire le texte en Lc 6, 6-11 ou aller à www.aelf.org, 5 septembre 2022)fin article - 529 affichages depuis le 5 Sep 2022