samedi 19 novembre 2022
Nous sommes heureux(SES) quand on vient nous féliciter pour une œuvre bien accomplie, réussie. Peu importe le domaine, ou du savoir intellectuel, ou de l'un des sports, ou d'une création artistique, ou d'une avancée industrielle, ou… se faire dire que c'est bon et bien, ça nous réjouit.
Jésus, comme on l'a médité, un de ces derniers dimanches, est aux prises avec des gens religieux qui ne croient pas à la Vie après la vie. Une femme doit épouser 7 frères à cause de la loi du Lévirat. Ils demandent à Jésus lequel sera son époux au moment de la résurrection. Jésus les renvoie à Moïse alors qu'il est devant son Dieu au buisson ardent ; il l'appelle "le Seigneur le Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob". Or pour tout bon Juif, ces personnages sont des vivants à jamais… Dieu n'est pas "le Dieu des morts, mais des vivants". Il ajoute pour chacunE de nous : "Tous, en effet, vivent pour lui." C'est cela que je veux prier en ce jour, à la veille de la fête du Christ Roi.
SI certains spectateurs diront à Jésus : "MAÎTRE, TU AS BIEN PARLÉ", moi, c'est par ma vie avec lui que je mettrai en pratique ce que ma foi me fait dire avec les spectateurs. C'est pour lui que je vis, c'est pour que son Royaume grandisse, c'est pour que Jésus soit connu et vécu en chacunE.
(Lire le texte en Lc 20, 27-40 ou aller à www.aelf.org, 19 novembre 2022)
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