lundi 11 mars 2024
Quand Jésus accomplit ses périples en Galilée, en Samarie, dans la Décapole, il rencontre plein de gens qui veulent le voir pour entendre ses paroles, manger à satiété, recourir à ses dons guérisseurs. Parfois tout cela se mêle au désir politique d'avoir côtoyé le Messie attendu.
En route, il y a un fonctionnaire royal qui "alla le trouver ; il lui demandait de descendre à Capharnaüm pour guérir son fils qui était mourant". Jésus est fort occupé et il répond à sa demande de changer son itinéraire par : "Va, ton fils est vivant." Avec la science moderne, on peut assister parfois, à des interventions par les moyens de communication, l'un étant ici et l'autre médecin, dans une autre ville, un autre pays, un autre continent même. Nullement déboussolé par ce refus, le fonctionnaire "crut à la parole que Jésus lui avait dite et il partit". Ses serviteurs le rencontrent sur la route pour lui apprendre la guérison de son enfant : "C’est hier, à la septième heure (au début de l’après- midi), que la fièvre l’a quitté. Le père se rendit compte que c’était justement l’heure où Jésus lui avait dit : TON FILS EST VIVANT." L'auteur de l'Évangile ajoute : "Alors il crut, lui, ainsi que tous les gens de sa maison."
Et cela s'accomplit aussi pour moi. Jésus vient guérir mes maladies physiques ou spirituelles…si et seulement si, comme ce fonctionnaire royal, je crois vraiment que Jésus est avec moi.
(Lire le texte en Jn 4, 43-54 ou aller à www.aelf.org, 11 mars 2024)
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