mardi 12 mars 2024
Ouf ! on est encore bien loin, dans la médecine moderne de ces "AUSSITÔT". Il y a bien des soulagements de la douleur mais c'est toujours en quelques minutes, jamais immédiatement. Voilà ce que la personne humaine doit accepter dans sa vie, et, autant dans le bien-être que dans la souffrance.
Un homme est là, couché, paralysé, comme beaucoup d'autres nous dit le texte : "Près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents." Jésus s'arrête à quelqu'un qui était là "depuis longtemps". Il répond à la question de Jésus : "Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne. " Et Jésus lui dit alors : "Lève-toi, prends ton brancard, et marche." "ET AUSSITÔT L’HOMME FUT GUÉRI". Toute la suite, ce sont des discussions avec les autorités religieuses sur ce repos du shabbat non respecté et par Jésus et par le paralysé guéri. Quand la personne humaine nouvellement guérie rencontrera Jésus, il entendra cet avertissement : "Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire."
Et je veux prier l'AUSSITÔT de cet évangile. Quand Jésus rencontre une personne qui veut vivre avec lui, qui veut se convertir, cela est immédiat. La personne est debout, elle accompagne Jésus. Et moi ?
(Lire le texte en Jn 5, 1-16 ou aller à www.aelf.org, 12 mars 2024)
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