lundi de la Résurrection, 9 avril 2012
Il nous arrive de vivre ainsi dans une grande frayeur, puis devant le dénouement de l'action ou du rêve, de passer à la joie. C'est ce que vivent les femmes allées au sépulcre pour l'inhumation de Jésus, dès la fin du sabbat. Un ange leur apparaît pour leur faire comprendre que Jésus est vivant ; le tombeau vide qu'elles viennent de voir, ce n'est pas le fait d'un vol, ou d'une violation de sépulture, alors "elles quittèrent le tombeau, tremblantes et toutes joyeuses, et elles coururent porter la nouvelle aux disciples". La joie les transporte, tellement que Jésus lui-même leur répète les consignes "Soyez sans crainte, allez annoncer à mes frères qu'ils doivent se rendre en Galilée : c'est là qu'ils me verront". Double apparition (Ange et Jésus), double paix, double joie, une mission : demander aux disciples de se rendre en Galilée. La peur est tombée, le rêve est devenu réalité, JÉSUS est LÀ, VIVANT, ALLELUIA !
Seigneur Jésus, viens m'accompagner quand j'aurai peur. Toi seul peux m'apporter la paix, le calme, la joie de savoir que tout se résout par toi, avec toi, en toi. Lorsque la tempête me bouleversera, lorsque les mensonges me briseront, lorsque les railleries me réduiront à rien, approche-toi de moi et dis moi : "Sois sans crainte." Et je chanterai ma joie, ALLELUIA !
(Lire le texte en Mt 28, 8-15, ou aller à http://www.aelf.org/office-messe, 9 avril 2012)
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